« Emmanuel Macron a compris le message », assure la présidente des députés Renaissance à l’Assemblée.
« On s’attendait à ce que la mobilisation soit forte, à la fois parce que traditionnellement on a des mobilisations le 1er mai et parce qu’on avait un mot d’ordre puissant sur la question des retraites », affirme Aurore Bergé sur RTL.
« Le contexte n’échappe ni au Président, ni à la Première ministre, poursuit-elle. La question, au-delà des mobilisations, est comment on fait aujourd’hui, parce que la réforme va entrer en vigueur au 1er septembre. Et il y a beaucoup d’autres sujets qui méritent qu’on puisse avoir un dialogue avec les partenaires sociaux. »
« J’entends que c’est une réforme d’effort. »
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